LIVE IN PARIS (VERSION IEM)

Bootleg issu de la collection sensationnelle de Thierry D.

Date : 09/09/2018
Lieu : POPB Paris Bercy (aka Accor Hotel Arena)
Label : inconnu
Support : 2 CD
Durée : 134:40 mn
Source : IEM
Qualité sonore : 9/10

Liste des titres :

01. Intro (5:10)
02. The Blackout (4:26)
03. Lights of Home (4:33)
04. I Will Follow (4:15)
05. All Because Of You (3:46)
06. Beautiful Day (5:24)
07. The Ocean (2:51)
08. Iris (Hold Me Close) (5:04)
09. Cedarwood Road (5:14)
10. Sunday Bloody Sunday (6:28)
11. Until The End Of The World (5:10)
12. Hold Me, Thrill Me, Kiss Me, Kill Me (4:08)
13. Elevation (4:55)
14. Vertigo (6:24)
15. Even Better Than The Real Thing (6:50)
16. Acrobat (6:03)
17. You’re The Best Thing About Me (6:41)
18. Summer Of Love (3:25)
19. Pride (In The Name Of Love) (5:16)
20. Get Out Of Your Own Way (4:33)
21. New Year’s Day (5:12)
22. City Of Blinding Lights (13:30)
23. One (5:02)
24. Love Is Bigger Than Anything In Its Way (5:49)
25. 13 (There Is A Light) (4:31)

Commentaire du taper (Bedoc) :

« Je n’avais pas prévu d’être à ce concert, mais j’ai pu me libérer. Sachant que je serai plus côté scène pour les soirs 3 et 4, j’ai pris une place plutôt côté mini-scène pour varier le plaisir. Le placement est sympa pour la mini-scène, mais ça s’arrête là. On est vraiment trop loin de la scène principale, trop déconnecté de l’action.
J’avais vu les setlist du Leg US, les quelques changements du leg Européen donc je savais à quoi m’attendre. Je n’ai pas aimé le concept et la tournée de 2015, pas réellement apprécié le dernier album. Du coup, j’y allais un peu sans en attendre grand chose. Et c’est finalement dans cet état d’esprit que l’on est le moins déçu.
Je vais uniquement m’attarder sur ce qui ma plu ça ira plus vite. L’intro et le début sur The Blackout » est franchement très réussi. Très puissant et très certainement pour moi le meilleur des tournées que j’ai pu faire (depuis le Vertigo Tour). Le ton est donné et plutôt bien enchaîné par Lights of Home, qui fait son effet avec les animations de l’écran.
On va quand même parler de All Because of You, qui n’est pas la chansons que j’aurai mis dans le top 5 des come back attendu, mais on demande au groupe de varier un peu les setlist, donc on peut au moins noter l’effort (même si l’effet est quand même moins marquant qu’un Gloria). The Ocean est totalement dispensable, surtout si c’est pour ne pas chanter les paroles.
Je ne pensais pas que j’aurai la chair de poule sur Elevation, mais force est de constater que le retour de la version remix en intro fait son petit effet ! Rien à dire sur Acrobat, enfin, même si on peut regretter qu’elle soit noyée comme cela dans le set. J’avais un peu peur de Summer of Love, mais finalement, même avec une version acoustique, elle rend vraiment très bien, avant de lancer Pride qui avec sa nouvelle intro reprend là aussi un peu d’intensité.
New Year’s Day reste le dernier bon moment du concert. Version très bien retravaillée, j’ai beaucoup aimé, elle presque digne de celle du Popmart (qui reste la référence).

En fait je vais quand même parler de ce qui fâche, c’est à dire tout le reste. La redite de 2015, un début de concert poussif. Au final, on ne sait plus quel est le concept, quel est le fil conducteur. Quel discours retenir : les réfugiés ? les femmes ? un peu tout à la fois, mais ça ne fonctionne pas
La fin de concert est tout simplement affreuse que même City of Blinding n’arrive pas à redynamiser. Et les trois dernières chansons, c’est la pire fin qu’il ait pu faire toute tournée confondue.
Bref, le groupe arrive au bout, ils sont cramés, 3 tournées en 4 ans c’était pas tenable. On a les mêmes chansons mais dans un ordre différents et moins bien jouées que les précédentes tournées (Iris…). Du gâchis.

SON
—
Retour d’un technicien, légèrement accès sur The Edge puisqu’on entend plus sa voix que celle de Bono. Mis à part cela, le mix global est je trouve très équilibré et le métronome pas trop présent. Il faut juste ne pas être perturbé par les commentaires de techniciens de temps à autre (par moment pendant les chansons)
Il y a eu quelques interférences, rien de très grave, avec un peu par moment un grésillement de fond que j’ai essayé de limiter au maximum. Un son excellent au global.

Enregistré par Bedoc, encodé le 31 octobre 2018
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