THIS IS THE HOME OF THE BLUES (UPGRADE) / THE PROMISED LAND
Date : 14/09/1979
Lieu : Aragon Ballroom, Chicago, Illinois, USA
Label : Ace Bootlegs Production
Support : 1 cd
Durée : 62:49 mn
Source : FM
Qualité sonore : 9/10
Liste des titres :
1. Jimmy Jazz (2:42)
2. I’m So Bored With The U.S.A. (2:37)
3. Complete Control (3:14)
4. London Calling (3:41)
5. Clampdown (4:48)
6. (White Man) In Hammersmith Palais (3:51)
7. Koka Kola (1:25)
8. I Fought The Law (2:34)
9. Jail Guitar Doors (2:58)
10. Police & Thieves (5:18)
11. Stay Free (4:32)
12. Clash City Rockers (3:54)
13. Safe European Home (3:21)
14. Capital Radio One (3:20)
15. Janie Jones (2:13)
16. Garageland (3:07)
17. Armagideon Time (4:40)
18. Career Opportunities (3:47)
19. White Riot (0:47)
Commentaire : Indispensable !!!
La version « The Promised Land », que je possède aussi (grâce à Thierry D. qui m’en a fait une copie) dispose d’une qualité sonore sensiblement inférieure. Mais si il y a des amateurs pour la tester, elle est disponible sur demande (en format wma) en s’adressant à l’adresse de courriel habituelle.
Version « This is the Home of the Blues (upgrade) » disponible ici* : https://1fichier.com/?wme18i1f7y
*Assurez-vous que le téléchargement de ces fichiers ne contrevienne pas à la législation en vigueur.
Pochette :
Livret
Dos
Pochette (version « Promise Land ») :
Bootleg n°288
Très bon son effectivement et très bon concert !
Merci Acz !
Ace ! Putain de clavier !
Traduction du texte sur la pochette »Promised Land » :
Trois mois avant la sortie de leur troisième opus, » London Caliing », longuement travaillé, les Clash en étaient toujours à leur deuxième tournée américaine intitulée »Promise land ».
Le groupe n’a jamais caché sa fascination pour les US – c’était, selon Mick Jones, l’endroit qu’ils avaient toujours rêvé de conquérir; la mère de Jones, qui s’était installée là-bas après s’être mariée, lui envoyait des copies des derniers magazines pop/rock tels que Creem et Rolling Stone, qui permettaient à ces jeunes britanniques de se tenir au courant de l’évolution du punk et du rock aux États-Unis.
La montée des Clash au Royaume-Uni est en partie dûe au succès d’un autre groupe, les Sex Pistols, à la réputation et aux performances live assez sulfureuses. Les États-Unis, eux, ont plus reconnu les Clash pour leurs paroles sensées et leur engagement politique. C’est lentement mais surement que le groupe a conquis le public américain, un peu comme l’ont fait les Stooges avec le public anglais quelques temps plus tôt. En effet, Les fans américains n’ont pu obtenir leur premier album qu’en import, après que des maisons de disques aux États-Unis aient estimé que le groupe avait moins de chance de réussir en radio.
Au moment où le groupe débarqua à Chicago pour leur tournée promotionnelle, leur orientation musicale était en pleine évolution. Ils s’étaient séparés de leurs deux premiers producteurs et Paul Simonon, grand fan de raggae, influençait une partie du groupe dans cette direction alors que les autres le tiraient vers le Ska, le Rock, le Jazz et le R & B , ce qui les ouvraient vers de nouvelles voies. Le monde dans lequel le groupe vivait – pas celui de la tournée et ses diverses chambres d’hôtel – mais celui du Royaume Uni, avec l’arrivée au pouvoir du nouveau premier ministre, les discours sociaux qui prenaient de plus en plus d’ampleur provoquaient des changements dont le groupe allait se faire le porte drapeau et auquel leur nouveau style allait être étroitement lié.
La diversité des paroles de leurs chansons touchait et embrassait de nombreux thèmes comme les drogues, le sexe, et même des blagues sur des personnages mineurs qui étaient soit fictifs, soit vaguement basés sur des gens que le groupe connaissait, et malgré leur renommée fulgurante, les Clash souhaitaient être toujours considérés comme les gens simples qu’ils étaient à leur début.
Leur engouement pour les vieux chanteurs Rock leur fit prendre Bo Diddley et Jay Hawkins en première partie de leurs deux tournées de 1979, avec également Jo Ely et The Cramps, – leur assurant ainsi une solide réputation à vouloir embarquer avec eux ces légendes du Blues et du Rock.
Ian Iachimoe
Petit commentaire sur le commentaire : Ian Iachimoe, auteur des notes de pochettes de « Promised Land », est en réalité le pseudonyme que Paul McCartney utilisait parfois, du temps des Beatles, pour faire des blagues.
Quand j’ai recherché sur google qui était ce Ian Iachimoe, je suis effectivement tombé sur Paul McCartney…. ce qui veut dire que ce serait lui qui aurait écrit ça ??? mais dans quel cadre ?? Un article pour un magazine ???
Soit c’est un gars qui connaissait l’anecdote sur Paul McCartney et qui a voulu faire une private-joke (hypothèse la plus probable), soit c’est Paul McCartney lui-même qui a chroniqué ce bootleg… à ma connaissance Macca n’a jamais été particulièrement fan des Clash.
comment acheter ce CD?
Aucune idée…
Je ne vends pas de CD, je n’en achète plus depuis belle lurette (belle lurette = 25 ans).
Si le concert vous intéresse, contactez-moi à l’adresse indiquée sur le site pour que je vous envoie un lien de téléchargement.