ROGER HODGSON

IMPORTANT (29/07/2017)

J’ai du enlever la plupart des pages concernant Roger Hodgson et Supertramp suite à une série de courriels de la société qui gère leurs droits :

Hello, I am giving you an opportunity to immediately permanently remove your illegal bootleg DVDs/CDs of Roger Hodgson and Supertramp from your site. Please have the products removed by end of business day Friday, July 28, or your site will be reported to IFPI for complete removal. Thank you for your cooperation. (…) There should be no mention of Roger Hodgson and/or Supertramp on your site. Again, please have all mentions to include images, DVDs, and CDs, removed by evening of Saturday, July 29.
http://ace-bootlegs.com/?s=Roger+Hodgson&searchsubmit.x=0&searchsubmit.y=0
Best,
L. G.

Je suis vraiment désolé de cette situation et j’imagine votre immense déception, vous tous, fans de Supertramp et de Roger Hodgson, qui avez dépensé beaucoup d’argent pour acheter tous les disques et DVD de ces artistes et pour aller les voir en concert régulièrement… Les fans sont les meilleurs clients des artistes, je ne crois pas qu’ils lèsent leurs intérets en s’échangeant gratuitement des enregistrements de concerts qui ne sont pas commercialisés, mais les maisons de disques ne semblent pas raisonner selon la meme logique.

Ace

Bootlegs classés par ordre chronologique / Bootleg list in chronological order

Quand Roger Hodgson a quitté Supertramp pour entamer une carrière solo, en 1983, tout le monde s’est demandé si le groupe survivrait à ce départ, tant le public avait tendance à l’identifier totalement à la voix et à la dégaine caractéristique de son chanteur, guitariste et compositeur. Roger Hodgson était d’ailleurs à l’origine des tubes les plus connus du groupe: Dreamer, Logical Song ou It’s Raining Again.

En 1984, il sort son premier album solo : « In the eye of the storm ». Celui-ci reçoit de très bonnes critiques et contient un hit (« Had a dream ») qui atteint la 5ème place des charts américains. L’année suivante, le premier album de Supertramp sans Hodgson, « Brother Where you bound » connaît à son tour un relatif succès, notamment avec le hit « Canonball » (pourtant l’un des morceaux les moins intéressants du disque – et le plus éloigné du style habituel de Supertramp).

La suite sera moins réjouissante tant pour Hodgson que pour Supertramp. Le premier tombe peu à peu dans l’oubli, du moins aux yeux du grand public, car il conserve un noyau indéfectible de fans, mais les ventes de ses albums suivants restent confidentielles. Pourtant son second album, Hai Hai, est d’une très bonne tenue. Le groupe Supertramp, quant à lui, vit sur son nom et produit des albums de plus en plus médiocres, mais qui continuent à se vendre, à grand renfort de campagnes marketing. Pourtant, si l’on compare la production musicale des deux entités (Hodgson et Supertramp) depuis leur séparation, il n’y a pas photo : le premier des deux a bien mieux utilisé son talent et produits des disques qui, sans être renversants, sont du moins fort attachants, tandis que le second produit aujourd’hui de la musique d’ambiance, très léchée mais sans âme et sans inspiration.

Les bootlegs de Hodgson ne sont pas si nombreux que cela. Au cours des années 2008 à 2010, il a décidé de faire des concerts intimistes où il joue du piano et de la guitare acoustique, accompagné d’un seul musicien au saxophone. En 2013, le revoici en tournée, mais cette fois avec un orchestre classique au complet. Il parvient ainsi à renouveler régulièrement son répertoire par des réinterprétations souvent réjouissantes.

Ici se trouvait autrefois une photo de R.H. (je n’ai pas le droit de mentionner son nom) mais j’ai du l’enlever pour une question de droits… apparemment cela faisait perdre de l’argent à quelqu’un…