ACE BOOTLEGS EST TOUJOURS LÀ…

Des bootlegs à gogo! Voici ce que vous trouverez ici. Tous ceux de ma collection soit, à ce jour, plus de 3000 bootlegs.

Contact : ace.bootlegs@gmail.com

 

 

Pour ceux qui savent déjà ce qu’est un bootleg et qui veulent se repérer dans cette masse presque incommensurable, la liste par artistes est là. Pour des conseils sur les meilleurs moyens de dénicher des bootlegs, cliquez ici (page en cours de création).

Pour les non initiés, un « bootleg », c’est ce qu’en français on appelle un « disque pirate », c’est-à-dire, pour faire simple, un enregistrement non officiel de concert. En fait, des Bootlegs il y en a de différentes sortes, et pas toujours des concerts, mais pour ce qui concerne les définitions, voyez plutôt ici.

Besoin d’une information particulière ? Vous voulez contribuer au site ? Vous voulez signaler des liens morts ? Vous désirez dénoncer l’intolérable lenteur à laquelle progresse la mise au point de ce site ? Vous voulez fulminer contre la partialité indicible des commentaires ou contre l’inanité des goûts musicaux exprimés sur ce site ? Vous êtes ulcéré par l’absence de tel ou tel artiste ? Deux possibilités : envoyez moi un mail à l’adresse suivante (en précisant « Ace Bootlegs » en objet) : ace.bootlegs@gmail.com  ou bien utilisez les formulaires de commentaires.

Attention, je le répète, sur ce site, vous ne pourrez rien acheter ou télécharger d’illégal. C’est d’abord un site d’information sur ce qui existe.

Ce site s’adresse donc principalement aux « fans ».

Les vrais fans possèdent déjà tous les enregistrements officiels de leurs artistes préférés (et parfois même en plusieurs exemplaires). Mais cela ne leur suffit pas. Il sont insatiables. Ils en veulent toujours plus. Ils rêvent de mettre un jour la main sur la pépite introuvable : ils sont sûrs qu’il existe quelque part une vieille bande non étiquetée sur laquelle figure un morceau rarissime, interprété une seule fois en concert par leur groupe fétiche, un titre inédit de sa discographie jamais publié officiellement, ou tout simplement un concert enregistré en douce par un spectateur ou un membre du staff technique et jamais sorti par la maison de disque. Les « fans » veulent tout avoir !

Pour certains, cela atteint des proportions maladives : certains « Beatles maniacs » possèdent jusqu’à la moindre note de musique enregistrée par leurs idoles et notamment les centaines d’heures de travail que le groupe a passé en studio pour réaliser les albums « Revolver », « Sergent Pepper’s » ou « Abbey Road ». Sur ces bandes, on peut par exemple trouver des dizaines de versions différentes de la chanson « A Day in the Life ». D’ailleurs, si une maison de disque s’avisait de publier officiellement ces bandes, elles seraient achetées par les fans (et seulement par eux). Vous croyez que j’exagère? Alors regardez sur cette page web : http://qualitybootz.blogspot.com/2009/01/complete-abbey-road-sessions-purple.html Avant que Dave, le créateur de ce site, soit obligé de l’abandonner pour des raisons personnelles, on pouvait télécharger ici les sessions complètes de l’enregistrement de l’album Abbey Road, soit 83 CD comprenant 2187 chansons ou pistes de dialogues, le tout représentant une durée totale de 97 heures 44 minutes et 7 secondes. On pouvait notamment y trouver 98 prises différentes de la chanson « Don’t let me down » (et j’en ai sûrement oublié en comptant!). Quant aux versions de « Get back » ou de « Let it be », je n’ai pas eu le courage de compter ; il y en avait trop.)

Tout cela pour dire que les amateurs de bootlegs ne lèsent absolument pas les artistes, leurs ayant droits, leurs managers ou leurs maisons de disques. Non seulement, ce sont eux qui sont les plus gros clients des disquaires, mais en plus ils contribuent à entretenir le mythe. Ce sont des doux dingues inoffensifs.

Je suis devenu un de ces amateurs à la fin des années 80. Mes premiers bootlegs, je les ai trouvés en Allemagne, où l’on pouvait alors en trouver légalement chez n’importe quel disquaire bien achalandé y compris dans les magasins WOM (World Of Music) l’équivalent allemand de la FNAC à cette époque. Au début du 21^ème siècle, grâce au développement d’Internet et du haut débit, je suis passé à la vitesse supérieure. J’ai commencé à collectionner les enregistrements live non officiels avec boulimie. Ces dernières années, je suis devenu plus sélectif : à quoi sert la musique sinon à être écoutée? Plutôt que de chercher à posséder tous les concerts joués par Pink Floyd, Santana ou Bowie (certains concerts existent dans plus de 30 versions différentes), j’ai décidé de me concentrer uniquement sur les enregistrements ayant la meilleure qualité sonore ou bien les enregistrements les plus rares, ce qui représente déjà des dizaines de milliers d’heures de musique. Le site BootlegZone, par exemple, qui était l’un des meilleurs du monde consacré aux Bootlegs, recensait ainsi au 24 mai 2015 la bagatelle de 39.858 enregistrements pirates, ceci n’étant d’ailleurs qu’une petite partie de ce qui existe. Le site a fermé entre temps, causant la désolation de dizaines de milliers de visiteurs. Heureusement, Ace.bootlegs assure en partie la relève.

Sur ce site vous pourrez donc consulter ma collection de bootlegs. Ils proviennent d’environ 200 artistes différents. La liste complète est là. Il s’agit à peu près exclusivement d’artistes rock – le terme étant ici pris dans son acception la plus large, c’est-à-dire allant du heavy metal au trip-hop en passant par le rock progressif, le funk ou le jazz-rock.

Certains artistes sont très représentés, comme Pink Floyd, dont je possède plus de 800 bootlegs. J’en possède également plus de 100 pour chacun des artistes suivants : Led Zeppelin, David Bowie, Santana ou Genesis.

Pour d’autres, je n’ai que deux ou trois enregistrements disponibles. C’est par exemple le cas pour les Eagles, Bruce Springsteen, Neil Young ou Curtis Mayfield. Question de goût ou de disponibilité sur le marché du bootleg.

Je suis cependant assez fier de posséder certaines pièces rares, notamment des enregistrements provenant d’artistes injustement méconnus en France ou qui sont aujourd’hui tombés dans un oubli relatif, ou encore qui, pour des raisons mystérieuses, ont été très peu piratés pardon, bootleggés durant leur carrière. Vous pourrez donc trouver ici l’une des plus grosse collection d’enregistrements rares de Blue Öyster Cult, Lenny Kravitz, les Pretenders, Procol Harum ou encore Roxy Music.Pour chacun d’eux, je possède entre 50 et 120 bootlegs.

J’en possède également un nombre honorable provenant d’artistes comme Dire Straits, Black Sabbath, Police, Queen, les Red Hot Chili Peppers, Clash, les Rolling Stones, Talking Heads, les Kinks ou Janis Joplin (pour ne citer que les plus connus).

Et surtout, je possède pas mal de bootlegs de groupes comme Cake, Supergrass, Talk Talk ou Archive, qui sont extrêmement difficiles à trouver sur le net (ou n’importe où ailleurs).

Lorsque ce site sera complètement à jour, ce qui devrait me prendre un an à compter du mois de mai 2015, pour chaque enregistrement vous trouverez une page fournissant une fiche technique, une liste des titres ainsi que des scans des pochettes (lorsque celles-ci existent). J’indique aussi, dans la mesure du possible, des liens vers des pages permettant de se procurer certains de ces enregistrements en téléchargement, mais uniquement à condition que les bandes en question n’aient jamais été publiées officiellement et que les artistes concernées ne s’opposent pas à cette diffusion. Pour les autres, il faudra vous débrouiller par vous-même pour les trouver, mais je prévois de créer une page de conseils sur le sujet. En attendant le jour merveilleux où ma tache sera accomplie, j’ai créé une page recensant tous les liens valides de téléchargement que j’aie pu trouver. Les liens de téléchargement ne sont pas éternels, les sites vont et viennent, meurent parfois, changent d’adresse, aussi. Certains liens sont donc déjà caducs, mais je mets la liste à jour régulièrement et il y en a suffisamment pour télécharger en continu pendant des semaines. La liste est ici.

Enfin, vous pourrez trouver aussi quelques pages diverses en liaison avec la musique, notamment des pages de critiques de disques (la liste est ici).

Les vrais bootleggers ne font pas commerce des disques pirates : soit ils les offrent (en faisant circuler gratuitement des copies pour leurs copains ou pour les copains de leurs copains – où, comme dirait Loretta dans « La vie de Brian », pour les copains des copains de leurs copains…), soit ils se les échangent. Il n’y a donc – je le répète au cas où des parasites (je veux dire des employés scrupuleux de maisons de disques) viendraient foutre leur nez ici – RIEN A VENDRE NI A ACHETER SUR CE SITE.