Au temps du vinyle, la pochette d’un disque était un élément incontournable d’un album. D’abord par sa dimension : 960 cm² (à comparer aux 144 cm² d’une pochette de CD). Ensuite par l’inventivité des auteurs de ces œuvres d’art, surtout durant les 25 années allant de 1965 (date où commencent à fleurir les pochettes vraiment recherchées) à la généralisation du format CD vers la fin des années 1980.
Taille comparée d’une pochette de disque vinyle et de CD
Certaines de ces pochettes sont plus connues encore que la musique dont elles constituaient l’écrin (comme par exemple celle de l’album « In the court of the Crimson King »). Mais certaines, beaucoup plus confidentielles, sont pourtant de vrais petits bijoux. Et il y a celles qui font preuve d’une originalité folle même si elles ne sont pas forcément d’une esthétique remarquable. Il y a encore les pochettes ridicules, vulgaires, idiotes ou simplement très laides.
Il y a les pochettes érotiques, les pochettes psychédéliques, les pochettes d’animaux, de salles de bain, de bonnes sœurs, de monstres préhistoriques, les pochettes horrifiques ou ésotériques… Bref, il y en a pour tous les goûts (voire les dégoûts!).
Enfin, il y a les pochettes que j’ai créés moi-même, pour accompagner mes bootlegs préférés. Je pense en avoir réalisé près de 500 depuis un dizaine d’années, parmi lesquelles une bonne cinquantaine dont je suis assez fier.
Voici donc une collection de plusieurs milliers de pochettes à déguster sans modération.
Vous trouverez ici une sélection de mes pochettes préférées classées par nom d’artiste
Ici, une sélection classée par thèmes.
Et ici, les pires pochettes de l’univers
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